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Comment devenir une femme fontaine : le guide ultime

Woman Lying on Bed

Comment devenir une femme fontaine : le guide ultime

Le phénomène de l’éjaculation féminine, plus communément appelé « fontaine » en français, intrigue et fascine depuis des siècles. L’idée qu’une femme puisse « jouir comme un homme » en expulsant un liquide par ses parties génitales lors de l’orgasme défie les croyances traditionnelles sur la sexualité féminine.

Pourtant, de plus en plus de témoignages contemporains, ainsi que certains écrits anciens, attestent que certaines femmes sont bel et bien capables d’éjaculer. Alors mythe ou réalité ? Tabou culturel ou capacité physiologique naturelle ?

Ces questions ont animé de nombreux débats sans toujours faire consensus. Au delà de la curiosité qu’elle suscite, la possibilité d’accéder aux plaisirs de l’éjaculation féminine soulève un intérêt croissant chez les femmes comme chez leur partenaire. Mais peut-on réellement apprendre à devenir une femme fontaine ? Quelles sont les techniques pour y parvenir ? Existe-t-il une méthode infaillible ?

Nous vous proposons ici un guide complet pour tout comprendre de ce phénomène encore mystérieux. Vous saurez ainsi si vous possédez ou non les prédispositions anatomiques nécessaires. Puis nous vous détaillerons une démarche progressive en plusieurs étapes pour vous entraîner à la maîtriser. Enfin, nous vous livrerons tous les conseils d’experts pour créer les conditions favorables à son épanouissement.

Alors, prêtes à découvrir votre potentiel éjaculatoire ? Lancez-vous dans cette aventure excitante ! Votre partenaire sera certainement un allié enthousiaste pour explorer avec vous les chemins du plaisir.

Table des matières

1. Comprendre l’éjaculation féminine

Avant de chercher à devenir vous-même une femme fontaine, commençons par bien comprendre de quoi il s’agit sur le plan physiologique et historique. Regardons les différentes théories scientifiques avancées, les témoignages et les représentations à travers l’histoire. Cela nous permettra de mieux cerner ce phénomène complexe et les débats qu’il suscite.

1.1 Qu’est-ce que l’éjaculation féminine ?

L’éjaculation féminine désigne l’expulsion d’un liquide clair par le méat urinaire (l’orifice externe de l’urètre) lors de l’excitation sexuelle intense. Elle survient généralement au moment de l’orgasme, mais peut aussi se produire avant.

Contrairement à l’éjaculation masculine qui accompagne systématiquement l’orgasme, l’éjaculation féminine ne survient pas à chaque orgasme. Elle résulte d’un réflexe sexuel qui n’est pas systématique chez toutes les femmes.

1.2 Les différentes théories sur l’origine du liquide éjaculé

L’origine exacte du liquide expulsé lors de l’éjaculation féminine fait débat dans la communauté scientifique. Deux hypothèses principales s’affrontent :

La théorie des glandes de Skene

Selon les défenseurs de cette théorie, le liquide proviendrait des glandes de Skene (parfois appelées prostate féminine), deux petites glandes situées de part et d’autre de l’urètre au niveau de la paroi antérieure du vagin. Ces glandes découvertes au XVIIe siècle par le médecin néerlandais Regnier de Graaf, puis redécouvertes au XIXe siècle par l’anatomiste Alexander Skene, sécréteraient sous l’effet de la stimulation un liquide comparable au liquide prostatique produit par la prostate chez l’homme.

La théorie de la sécrétion urinaire

Selon les tenants de cette hypothèse concurrente, il s’agirait d’urine diluée provenant de la vessie, expulsée de manière réflexe sous l’effet de la pression exercée par les muscles du plancher pelvien lors de l’orgasme. En 1986, le Dr Gary Schubach était le premier à émettre cette hypothèse après analyse du liquide.

Les arguments en faveur de la thèse urinaire

Plusieurs études récentes penchent plutôt en faveur d’une origine vésicale du liquide :

– En 2002, une étude menée par le Dr Florian Wimpissinger analysant le liquide éjaculé de deux femmes a révélé une composition très proche de l’urine en termes de taux de créatinine et d’urée.

– Une étude de 2015 utilisant l’échographie pelvienne a montré que la vessie se vidait par à-coups lors de l’éjaculation féminine.

– En 2011, le Dr Emmanuele Jannini a analysé le liquide de 7 femmes et constaté la présence d’urée, de créatinine et d’acide urique, signature d’une origine rénale.

Les arguments en faveur de l’origine skenienne

Certains scientifiques objectent cependant que la composition urinaire ne prouve pas forcément une origine vésicale. Ils arguent que :

– Le liquide éjaculé contient du glucose et une enzyme appelée PSA (antigène spécifique de la prostate) qui ne sont pas présents dans l’urine.

– Tous les témoignages s’accordent sur le fait que l’aspect du liquide (couleur, odeur, saveur) diffère nettement de l’urine.

– L’étude échographique de 2015 n’a été menée que sur 7 participantes, ce qui est insuffisant pour en tirer des conclusions définitives.

Conclusion provisoire sur ce débat

En conclusion, la majorité des scientifiques s’accorde à dire que le liquide éjaculé contient des traces de composants urinaires. Cependant, ils divergent sur la question de savoir si l’urine constitue la totalité ou seulement une partie de ce liquide. Des recherches complémentaires seront nécessaires pour trancher définitivement ce débat.

Quelle que soit la nature exacte du liquide, l’éjaculation féminine se distingue de la simple incontinence urinaire par le fait qu’elle survient en réponse à une stimulation sexuelle et non de manière involontaire.

1.3 Combien de femmes sont concernées ?

Faute d’études épidémiologiques à grande échelle, il est difficile d’établir des statistiques précises sur la proportion de femmes capable d’éjaculer. Les différentes enquêtes disponibles sur des échantillons limités donnent des résultats variables.

Les premières études menées dans les années 1940 par le gynécologue allemand Ernest Gräfenberg, découvreur du point G, faisaient état d’une femme sur trois capable d’éjaculer.

Des enquêtes plus récentes estiment que cette capacité concernerait entre 10 et 54% des femmes[1]. Parmi les femmes capables d’éjaculer, seulement certaines le font de manière répétée. Chez la majorité, ce phénomène reste occasionnel.

Les adeptes de l’éjaculation féminine estiment cependant que sa rareté apparente tiendrait davantage à une méconnaissance et à des blocages psychologiques et culturels qu’à une inaptitude physiologique. Ils considèrent que toute femme possédant des glandes de Skene peut potentiellement apprendre à éjaculer avec la technique appropriée. Cette vision reste controversée.

1.4 L’éjaculation à travers l’histoire

Si l’éjaculation féminine est aujourd’hui encore taboue, elle fut pendant longtemps reconnue et même célébrée par de nombreuses civilisations à travers le monde. Petit tour d’horizon historique.

Dans l’Antiquité

Dans l’Antiquité gréco-romaine, l’éjaculation féminine était considérée comme le signe d’un orgasme puissant, sans connotation péjorative.

De nombreux textes évoquent une « semence » féminine comparable à la semence masculine. Dans la pensée hippocratique, l’orgasme féminin était même perçu comme nécessaire à la procréation, la femme fournissant la matière et l’homme lui donnant forme.

Aristote lui-même décrivait la « semence » des femmes comme un élément essentiel à la génération.

En Orient

Dans les civilisations orientales, l’éjaculation féminine fut également considérée très tôt comme la manifestation d’un orgasme authentique permettant d’atteindre l’extase.

Les écrits tantriques hindous datant du IVe siècle faisait référence à l’amrita, un fluide noble sécrété par certaines femmes sous l’effet de la stimulation sexuelle.

En Chine, de nombreux manuscrits érotiques évoquent depuis le VIIe siècle l’expulsion d’un « nectar vaginal » lors de rapports sexuels prolongés.

Au Moyen-Age

Avec l’avènement du christianisme, l’éjaculation féminine commence à être perçue comme honteuse, symptomatique de la lubricité des femmes.

Certains théologiens y voient la marque du démon, un signe de sorcellerie. D’autres ecclésiastiques tentent cependant de défendre sa nature licite. Mais le soupçon s’installe durablement dans les mentalités.

A la Renaissance

A la Renaissance, l’observation anatomique et l’intérêt scientifique pour la sexualité permettent de réhabiliter quelque peu l’éjaculation féminine.

Des médecins comme Ambroise Paré ou Régnier de Graaf décrivent l’existence d’un équivalent féminin de la prostate sans porter de jugement moral. Mais cela reste confidentiel.

Au XIXe siècle

Au XIXe siècle, avec la redécouverte des travaux de Graaf et la description des glandes de Skene, l’éjaculation féminine retrouve une certaine légitimité scientifique. Mais elle demeure un phénomène marginal souvent occulté.

Au XXe siècle

Ce n’est qu’au XXe siècle, avec la révolution sexuelle et la multiplication des études sur la sexualité, que l’éjaculation féminine commence à s’affranchir réellement du tabou. Mais elle reste entourée de nombreuses interrogations et fausses croyances.

1.5 Quelle quantité de liquide est éjaculée ?

Contrairement à certaines représentations fantasmées, l’éjaculation féminine ne prend pas toujours la forme d’un jaillissement abondant et spectaculaire comme on peut le voir dans les films pornographiques.

En réalité, le volume de liquide expulsé est très variable d’une femme à l’autre, allant de quelques gouttes à quelques millilitres. Certaines femmes décrivent une sensation d’humidité sans écoulement visible. D’autres ressentent un ruissellement plus conséquent qui peut traverser les vêtements. Mais même dans les cas les plus prolixes, le volume éjaculé dépasse rarement la vingtaine de ml.

Une étude de 2015 analysant les témoignages de 320 femmes a relevé des volumes d’éjaculat mesurés allant de 0,3 ml à plus de 150 ml[2]. Mais une éjaculation très abondante à chaque rapport reste l’exception. La majorité des femmes font état de petites quantités.

L’intensité de l’éjaculation dépendrait principalement du degré de réplétion de la vessie avant le rapport, et de la capacité à relâcher les muscles du plancher pelvien au moment de l’orgasme.

2. Prérequis pour devenir une femme fontaine

Après ce tour d’horizon général du phénomène, intéressons-nous maintenant aux facteurs qui favorisent ou non l’aptitude d’une femme à éjaculer. Existe-t-il des prédispositions anatomiques ? Quelle est l’influence des facteurs psychologiques et culturels ?

2.1 Des prédispositions anatomiques

Certaines particularités morphologiques facilitent la propension des femmes à expérimenter l’éjaculation. Examinons les principales.

Des glandes de Skene bien développées

La présence de glandes de Skene de taille significative est un atout majeur. En effet, ce sont ces glandes qui produiraient le liquide skenien constituant une partie de l’éjaculat[3]. Or elles sont absentes ou très discrètes chez certaines femmes. Il est donc plus difficile pour elles de sécréter une quantité notable de liquide.

Cependant, la possibilité d’éjaculer un liquide à dominante urinaire n’est pas conditionnée à la présence de ces glandes. D’autres facteurs entrent alors en jeu.

Une vascularisation clitoridienne abondante

Une vascularisation importante au niveau du clitoris favorise des orgasmes plus intenses, et facilite généralement l’éjaculation qui les accompagne.

A l’inverse, un clitoris peu innervé rend plus aléatoire la survenue du réflexe éjaculatoire.

Un bon contrôle du plancher pelvien

Pour pouvoir expulser le liquide éjaculatoire, il faut être capable de contrôler parfaitement les muscles du plancher pelvien situés à la base du périnée et ceinturant le vagin[4]. Un entraînement ciblé par des exercices de Kegel permet de les renforcer et de mieux les coordonner.

A l’inverse, des muscles du périnée hypotoniques peinent à se contracter efficacement pour permettre l’éjection vaginale.

2.2 L’influence des facteurs psychologiques et culturels

Au-delà de la simple anatomie, des conditionnements psychologiques et culturels entrent également en jeu pour favoriser ou au contraire freiner la propension à éjaculer.

La peur de se laisser aller

Pour qu’advienne l’éjaculation, la femme doit être capable de se laisser aller totalement sans retenue au moment de l’orgasme. Or de nombreux blocages liés à la pudeur ou la peur de perdre le contrôle font obstacle à ce lâcher-prise. La capacité à s’abandonner dans le plaisir dépend beaucoup de l’histoire personnelle de chacune et de l’image de son propre corps.

La honte de mouiller

L’éducation et les normes sociales véhiculent souvent l’idée que toute forme d’humidité vaginale est sale, honteuse ou répugnante. Cette perception négative des sécrétions féminines est un frein puissant à la capacité d’assumer pleinement l’éjaculation.

La peur du regard du partenaire

La crainte d’une réaction négative du partenaire, ou d’entacher les draps, peut également constituer un blocage. La confiance est primordiale pour oser se lâcher. Le partenaire doit adopter une attitude d’acceptation bienveillante.

Le tabou culturel et religieux

Dans de nombreuses cultures, l’éjaculation féminine reste taboue et suscite la réprobation. Elle peut être perçue comme honteuse, sale, ou associée à la sorcellerie. Ce poids culturel agit comme un puissant frein psychique, empêchant les femmes de revendiquer ce plaisir.

L’influence de la pornographie

A l’inverse, la pornographie véhicule une image fantasmée de l’éjaculation féminine comme jaillissement spectaculaire systématiquement associé à l’orgasme. Cette représentation erronée génère des complexes chez celles qui n’y parviennent pas.

2.3 Optimiser ses chances : les facteurs facilitants

Bien que l’aptitude à éjaculer dépende en partie de la physiologie propre à chacune, il est possible d’optimiser ses chances en réunissant les conditions les plus favorables.

Une bonne hydratation

Boire abondamment dans les heures précédant le rapport permet de remplir la vessie et d’obtenir un volume d’éjaculat plus important. C’est d’autant plus vrai si le liquide éjaculé est principalement d’origine urinaire.

Des muscles pelviens exerçés

Le renforcement du plancher pelvien par des exercices quotidiens de Kegel donne un meilleur contrôle sur les contractions vaginales nécessaires à l’expulsion du liquide.

Un environnement détendu

Il est essentiel de se sentir en confiance et détendue pour oser lâcher prise. Un contexte relaxant et une relation de complicité amoureuse avec le partenaire facilitent ce besoin de sécurité.

Une excitation prolongée

Prendre son temps pour monter progressivement vers l’orgasme permet une stimulation intense et prolongée du point G, propice au réflexe éjaculatoire. La précipitation risque de court-circuiter le processus.

L’absence de pression

A l’inverse, toute pression de performance risque de bloquer le processus. Il est essentiel d’aborder l’expérience avec sérénité, sans se fixer d’objectif, pour laisser l’éjaculation advenir naturellement.

3. Progresser par étapes

Apprendre à éjaculer ne s’improvise pas en un jour. Voici les différentes étapes à suivre pour vous exercer progressivement.

3.1 1ère étape : localiser la zone du point G

Le point G joue un rôle crucial dans le déclenchement du réflexe éjaculatoire. Commencez donc par bien repérer cette zone érogène située sur la paroi antérieure du vagin, à quelques centimètres de l’entrée. Elle recèle en profondeur une partie des racines du clitoris. Sa stimulation provoque généralement une envie pressante d’uriner. Explorez la zone avec doigté pour découvrir les caresses procurant le plus de sensations.

3.2 2ème étape : stimuler la zone G

Une fois le point G localisé, il s’agit de le stimuler plus intensément en y appliquant une pression ferme et constante avec un doigt recourbé ou à l’aide d’un gode ciblé. Cette stimulation prolongée est propice à déclencher le réflexe éjaculatoire.

Vous pouvez accroître progressivement la rapidité des mouvements. De nombreuses femmes décrivent un plaisir intense lorsque le point G est stimulé vigoureusement pendant l’acte.

3.3 3ème étape : associer la stimulation du clitoris

Pour décupler l’excitation, associez à la stimulation du point G, celle du gland du clitoris avec votre autre main. Cette double stimulation synergique interne et externe fait rapidement monter au septième ciel. Le clitoris joue un rôle facilitateur en conduisant à un orgasme puissant.

3.4 4ème étape : exercer les muscles du plancher pelvien

En parallèle, exercez intensément votre plancher pelvien par des contractions volontaires répétées. Cet entraînement quotidien vous permettra de mieux contrôler les muscles périnéaux et de les détendre à volonté lors de la stimulation du point G. C’est la clé pour permettre l’éjection vaginale.

3.5 5ème étape: lâcher prise au moment de l’orgasme

Lorsque l’orgasme arrive, cessez tout contrôle musculaire et laissez-vous aller, en abaissant bien le périnée. C’est à ce moment précis que l’éjaculation a le plus de chance de se produire. Acceptez totalement ce qui se passe, sans retenue.

3.6 Persévérer en douceur et sans pression

Rappelez-vous que l’éjaculation féminine ne peut être forcée. Poursuivez vos essais avec patience et bienveillance, sans exigence de résultat. Le principal est de goûter le plaisir du chemin, le reste viendra naturellement. Et si l’éjaculation ne survient pas, ce n’est pas grave. L’essentiel est de vous faire du bien.

4. Adopter les bons réflexes

Voici quelques astuces supplémentaires pour vous aider à créer les conditions optimales à l’épanouissement de votre éjaculation.

4.1 Bien vous hydrater

Buvez régulièrement de l’eau dans les heures précédant le rapport sexuel pour remplir votre vessie. Une vessie bien remplie fournira la matière première idéale si le liquide éjaculé est principalement d’origine urinaire.

Evitez néanmoins une hypersaturation qui stimulerait trop votre envie d’uriner et vous bloquerait. 1,5 litre dans les 2-3 heures avant l’acte est un bon dosage.

4.2 Uriner avant l’acte

Il est recommandé d’uriner immédiatement avant le rapport, pour vous assurer que toute envie pressante est soulagée. Cela vous permettra de mieux dissocier l’éjaculation de l’urgence mictionnelle.

4.3 Utiliser des serviettes absorbantes

Pour vous sentir parfaitement à l’aise et vous lâcher sans appréhension, prévoyez une serviette épaisse ou un drap de bain pour protéger le lit. Vous éviterez ainsi de tacher vos draps et pourrez vous concentrer uniquement sur votre plaisir.

4.4 Employer un bon lubrifiant

Un bon lubrifiant facilitant les caresses prolongées est important pour éviter les irritations. Choisissez de préférence une formule à base d’eau comme le Sylk naturel, sans perturbateurs endocriniens. Le Yes bio amplifie les sensations grâce à un complexe d’actifs végétaux.

4.5 Prendre votre temps

Accordez-vous une longue phase de préliminaires sensuels pour monter progressivement dans les tours. Une stimulation sexuelle prolongée favorisera un orgasme plus puissant, propice au déclenchement du réflexe éjaculatoire. La précipitation risque au contraire de gripper le mécanisme.

4.6 Respirer profondément

Une respiration lente et profonde permet de mieux vous détendre et lâcher prise. Expirez bien au moment où la tension monte pour libérer vos blocages. Ces techniques de respiration consciente optimiseront vos chances d’atteindre le point de non retour.

4.7 Eviter toute pression

Surtout, ne vous mettez aucune pression pour éjaculer. Cela risquerait de créer des tensions parasites très inhibitrices. Abordez l’expérience avec sérénité, en restant à l’écoute des sensations de votre corps et de vos émotions. Le plaisir est déjà une fin en soi.

Références

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